Au sortir de l'installation, nous allons nous livrer à quelques tâches urgentes ( une grande partie a été faite a l'installation ) mais bon ca mange pas de pain de les remettre ici. à savoir configurer mc, comprendre un peux comment ca marche, le clavier, la souris, le lecteur de disquette, Le cdrom , les disques réseau , comment fonctionne fstab pratique si vous voulez monter d'autre disques, le fichier d'échange (swap), le menu en console, Xwindow et les runlevel, le son (optionel), la connexion ppp, le réseau, le firewall (option) et enfin créer un compte utilisateur :
Loguez-vous en root : tapez # root à l'invite ! Puis lancez Midnight Commander en tapant # mc
Tout d'abord, sachez qu'un manuel est accessible en ligne par la commande F1 (contents pour l'index) ou au format HTML sur manual1.html. Mais, comme tout le monde préfère se débrouiller par soi-même, voici quelques trucs bien utiles qui vous permettrons de vous lancer.
# mc lance Midnight Commander
F1 pour
de l'aide
F2 pour le menu de commandes
F3
pour visualiser un fichier
F4 pour éditer
le fichier sélectionné
F5 pour
copier un fichier ou un répertoire (par défaut dans le
répertoire qui s'affiche dans l'autre panneau)
F6
pour déplacer un fichier ou un répertoire ou
le renommer
F7 pour créer un répertoire
F8
pour effacer un fichier ou un répertoire
F9
pour activer la barre de menu
F10 pour
quitter, soit un menu ouvert, soit Midnight Commander lui-même
Dans les menus F9:
Left et Right pour configurer
l'affichage dans les deux panneaux
File pour les
principales commandes
Command pour des réglages
de fond
Options pour l'apparence et le
fonctionnement en général ...
Options puis
Save Setup pour sauvegarder vos choix
Pour que les caractères accentués puissent être
affichés, aller dans : F9 -->Command
-->Display bits
et cocher les cases : ISO-8859-1
et Full 8 bits input .
Dans le menu F2 vous avez toutes les commandes utiles pour manier les packages de n'importe quelle distribution, pour compresser et décompresser des fichiers dans de nombreux formats. De plus vous pouvez très bien l'enrichir de nouvelles fonctions.
Enter sur la ligne de commande : exécute la
commande
sur un répertoire : se place dans ce
répertoire
sur un exécutable : exécute le
fichier
sur une archive : affiche son contenu
Ctrl-x c
lance la commande Chmod
Ctrl-x o lance la
commande Chown
Ctrl-x l crée un lien
symbolique pour le fichier sélectionné dans le
répertoire qui s'affiche sur l'autre panneau
Esc-?
lance la commande find pour rechercher des fichiers
Insert
pour sélectionner plusieurs fichiers
Ctrl-s
ou Alt-s lance une recherche dans le repertoire
affiché
Alt-t pour passer d'un mode
d'affichage à l'autre
Alt-o affiche sur le
deuxième panneau le contenu du répertoire
sélectionné
Alt-y affiche le
répertoire que l'on a affiché précédement
Alt-u
affiche le répertoire suivant dans l'historique
Alt-H
affiche l'historique des répertoires affichés
Alt-h
affiche l'historique des commande exécutées
Alt-Enter
affiche sur la ligne de commande le fichier
sélectionné
CRTL-x p affiche le PATH
(ou chemin) du répertoire sélectionné sur la
ligne de commande
Dans l'éditeur:
# mcedit pour lancer l'éditeur
Ctrl-Insert
pour copier
Shift-Delete pour
couper
Shift-Insert pour coller
F3
et touches directionnelles pour sélectionner du texte
F8
pour effacer une sélection
Delete pour
effacer à droite du curseur
Return pour
effacer à gauche du curseur
Je vous laisse découvrir le reste. Sachez simplement que l'on peut entre autres se servir de Midnight Commander comme client FTP, pour envoyer des mails, pour éditer et exécuter des macros, pour comparer et trier des fichiers, etc ... En fait j'en suis toujours à me demander ce que l'on ne peut pas faire avec ...
Que se passe-t'il au démarrage ?
Et bien, au démarrage, le programme innit lit les instructions que contient le fichier innitab du répertoire /etc dont la première défini le niveau de fonctionnement par défaut du système et la seconde lui ordonne de lancer le script rc.S qui initialise le système (= monte le système de fichier, la mémoire, les périphériques, réveille la bête quoi ...) et éxécute les commandes complémentaires qu'il trouve éventuellement dans d'autres fichiers de configuration, comme par exemple rc.modules (qui lui lance tous les modules qui gèrent les périphériques qui ne sont pas directement pris en charge par le noyau.) ou rc.serial par exemple.
Puis le programme innit lance le système de la manière définie par défaut dans le fichier innitab . Le terme utilisé est le mode : on peut par exemple lancer linux en mode graphique, en mode multi-utilisateurs etc ... c'est votre choix (le terme exact est le niveau de fonctionnement du système). Ainsi, au sortir de l'installation de la slackware et de Drinou-Linux, le fichier innitab prévoit par défaut un démarrage du système en mode multi-utilisateur (c'est le mode console classique) et, dans ce cas, c'est le fichier rc.M qui est exécuté.
Ce dernier, lance les daemons (tout s'explique : votre PC est habité par des démons) et lance des fichiers de configuration plus spécifiques, comme rc.keymap, rc.cdrom, rc.inet1 et rc.inet2 qui gèrent le réseau, rc.local (dans lequel on peut définir les programmes que l'on veut voir démarrer automatiquement) etc ...
Dans Midnight Commander, tapez cd /etc/rd.d ce qui va vous amener dans le répertoire où se trouvent ces fichiers et faites F3 sur chaqu'un d'eux pour les découvrir ! Jetez également un oeil sur le fichier innitab du répertoire /etc .
Vous voyez que ces fichiers comportent à ce stade très peu de lignes décommentées (les lignes commentées commencent par le caractère # ( fagot )et sont inactives) et il s'agit dès lors de faire nos choix.
Dans rc.M on voit que les lignes qui prévoient
de lancer un fichier rc.keymap s'il en existe un sont
déjà décommentées.
Dans rc.keymap
nous apprenons que les fichiers qui correspondent aux différents
types de clavier devraient se trouver dans le répertoire
/usr/share/keymaps/i386 ... (oubliez : ils sont en réalité
dans le répertoire /usr/lib/kbd/keymaps/i386 sous
Drinou-Linux)
Rendons-nous donc dans ce répertoire en tapant dans Midnight Commander cd /usr/lib/kbd/keymaps/i386, choisissons le bon clavier (par exemple fr-latin1.map pour le clavier français standard) et déclarons-le dans rc.keymap (il suffit pour cela de décommenter les lignes existantes et de rajouter la référence du bon clavier):
if [ -x /usr/bin/loadkeys ]; then
loadkeys fr-latin1
puis de redémarrer le PC par Ctrl-Alt-Delete ou par # reboot ou bien encore avec la vraie commande # shutdown -r now.
Pourquoi redémarrer le PC vous direz-vous ? Simplement pour exécuter ce fichier rc.keymap et configurer votre clavier ? N'y aurait-il pas mieux à faire ? Et, bien oui, vous avez raison : à la place d'un redémarrage complet vous pouvez soit exécuter la commande contenue dans le fichier rc.keymap :
# loadkeys fr-latin1
soit encore exécuter le script lui-même ! Car le fichier rc.keymap est un script exécutable, et le sélectionner dans Midnight Commander puis faire Enter va l'exécuter, de même qu'en ligne de commande :
# cd /etc/rc.d pour se placer dans le bon
répertoire et
# ./rc.keymap pour exécuter
le fichier auront le même effet pour la session en cours.
Et comment distingue-t-on un fichier exécutable d'un autre ? Visuellement, dans Midnight Commander, ces fichiers peuvent être affichés en vert et sont précédés du signe * et, d'une manière générale, ces fichiers sont au bénéfice de l'autorisation exécutable, et cela au moins pour leur propriétaire.
Néanmoins, il est essentiel de modifier les fichiers du répertoire /etc/rc.d pour que ces paramètres soient pris en compte au démarrage, et ceci pour s'épargner à chaque session le lancement de ces mêmes commandes.
Si vous le préfèrez, le script # kmapset vous permet de choisir votre clavier dans une liste.
Le pavé numérique activé au Boot
il suffit de rajouter quelques lignes dans le fichier /etc/rc.d/rc.local voici ce qu'il faut rajouter :
# clavier numerique au boot ne pas mettre avec le portables !
for
tty in /dev/tty[1-9]*;
do
setleds -D +num < $tty >
/dev/null
done
Passons à la souris et retournons dans le fichier /etc/rc.M pour décommenter les lignes
if [ -x /usr/bin/gpm ]; then
echo "Starting mouse
driver: gpm"
/usr/bin/gpm -t ms #pour une souris série
#/usr/bin/gpm -t ps/2 #pour une souris PS/2
#/usr/bin/gpm -t
imps/2 #pour une souris PS2 à Molette
fi
pour qu'au prochain démarrage :-) le programme gpm qui permet d'effectuer des copier-coller directement sur la console soit lancé. Dans la pratique : sélectionner du texte avec le bouton gauche pour le copier et cliquer avec le bouton droit ou centrale pour le coller à l'emplacement où se trouve le curseur ... plus qu'utile ...
On vas en profiter pour vérifier que le protocol de la
souris est correct dans le fichier /etc/XF86Config vous devez trouver
une ligne comme celle-ci dans la section «Pointer»
Il
faut vérifier que le protocol est le bon comme pour gpm , ms
pour souris série, ps/2 pour souris PS2 et imps/2 pour souris
PS2 à molette
D'autre part, selon votre type de souris, il est possible que vous deviez changer l'option ms de la ligne /usr/bin/gpm -t ms du fichier /etc/rc.M par une autre. La liste des types de souris qui sont supportées s'obtient par la commande :
~# gpm -t help
et vous pouvez charger le bon fichier par la commande :
~# gpm -t [type]
Rendons-nous maintenant dans le répertoire /dev, qui contient les fichiers dits spéciaux qui servent aux pilotes à communiquer avec les périphériques, pour voir comment la souris y est référencée : il y a un lien /dev/mouse qui pointe sur /dev/ttyS0 qui est le port COM 1 ce qui, dans mon cas, est correct. J'obtiens une description de ce fichier par la commande :
~# ls -l /dev/mouse
lrwxrwxrwx 1 root root 5 Jan 6
21:09 /dev/mouse -> ttyS0
Sur cette ligne, je vois que /dev/mouse est un lien parce que la ligne débute par un l, qu'il a toutes les autorisations possibles (rwxrwxrwx) et qu'il pointe (->) vers le fichier ttyS0. Dans Midnight Commander il est précédé du signe @, qui indique un lien, et je vois en bas du panneau l'indication du fichier vers lequel il pointe -> ttyS0.
Sous Linux, les ports parallèles s'appellent lp0, lp1... Si vous n'en avez qu'un, il s'agira toujours de lp0.D'une manière générale, sachez que c'est le fichier /etc/printcap qui enregistre les paramètres imprimante.
À finir d'écrire ....
Pour imprimer avec une imprimante connectée à un serveur Windows à partir d'un client Linux: « smbclient canon //windows/canon » (dans cet exemple, l'ordi Windows s'appelle « windows » et le nom de partage de l'imprimante est « canon »). Vous verrez apparaître un prompt : « smb:\> ». Tapez « print unfichier.txt », et c'est parti.
Lisez un bon «Howto».
Le fichier fstab du répertoire /etc, qui contient toutes les indications sur les différent sytèmes de fichiers (partitions logiques, lecteurs de disques) montés sur le système, nous apprend que le lecteur de disquette s'appelle /dev/fd0 (ce qui correspond bien au premier lecteur de disquette) et qu'il se monte automatiquement sur /mnt/A: (c'est le répertoire dans lequel s'affichera le contenu de la disquette). C'est cette ligne qui nous le dit :
/dev/fd0 /mnt/A: auto defaults,noauto,user 0 0
En ligne de commande :
# mount /mnt/A: pour monter la disquette
#
cd /mnt/A: pour se placer dans le bon répertoire
#
ls -l pour afficher son contenu et
# umount
/mnt/A: avant de la retirer c'est important.
Pour formater une disquette :
# fdformat -n /dev/fd0u1440 pour formater une
disquette vierge à 1.44 MB
# fdformat -n
/dev/fd0u1722 pour formater une disquette vierge à
1.722 MB
Ces commandes formatent la disquette, mais ne créent pas de système de fichier. Pour cela exécuter :
# mkdosfs -v /dev/fd0u1440 pour une disquette DOS
1,44 MB
# mkdosfs -v -F32 /dev/fd0u1440 pour une
disquette FAT32 1,44MB
# mke2fs /dev/fd0u1440 pour
une disquette linux.
De même :
# mkdosfs -v /dev/fd0u1722 pour une disquette DOS
1,722 MB
# mkdosfs -v -F32 /dev/fd0u1722 pour une
disquette FAT32 1,722 MB
# mke2fs /dev/fd0u1722 pour
une disquette linux 1,722 MB.
Plus simplement, pour effectuer un formatage rapide (effacer les fichiers) :
# mkdosfs -v -F32 /dev/fd0 pour une disquette DOS
et
# mke2fs /dev/fd0 pour une disquette linux.
Enfin, dans /etc/rc.d/rc.M décommentons les lignes relatives au fichier /etc/rc.cdrom qui va monter le cdrom automatiquement au démarrage:
if [ -x /etc/rc.d/rc.cdrom ]; then
/etc/rc.d/rc.cdrom
fi
Par ailleurs, dans le fichier rc.cdrom du répertoire /etc/rc.d nous voyons que toutes les lignes sont actives, donc à moins d'avoir un lecteur très particulier il n'y a rien d'autre à faire. Sinon, charger le bon module et décommenter la bonne ligne dans /etc/rc.d/rc.modules.
Enfin, allons vérifier dans /dev vers quel périphérique pointe de lien /dev/cdrom :
~# ls -l /dev/cdrom
lrwxrwxrwx 1 root root 3 Jan 6
21:09 /dev/cdrom -> hdc
Ici, par défaut /dev/cdrom pointe vers /dev/hdc ce qui ne me convient pas. En effet, je n'ai qu'un disque dur sur mon PC qui se nomme /dev/hda et par conséquent mon lecteur de CD doit s'appeler /dev/hdb( si il est sur la meme nape en esclave )
Je vais donc supprimer le lien /dev/cdrom et en créer un nouveau qui pointera vers /dev/hdb par les commandes :
~# rm /dev/cdrom
~# ln -s /dev/hdb /dev/cdrom
ou bien depuis Midnight Commander par F9, File, puis SymLink ou encore par le raccourci Ctrl-x s)
ou enfin en lançant le script # cdset qui vous fera très simplement cela.
Vérifions que cela fonctionne avec un CD
~# mount /dev/cdrom /mnt/cdrom
~# cd
/mnt/cdrom
/mnt/cdrom# ls
Amiga/ Magazine/
bootdsks.144/ kernels/ modules/ slakware/
BeOS/ README/ contribs/
live/ rootdsks/
MacOSX/ ZipSlack/ docs/ ls-lR.gz slaktest/
1/ IDE
il suffit de renseigner le /etc/fstab, avec une ligne comme: « /dev/hdc /mnt/zip vfat noauto,users,defaults 0 0 » (si le zip est en 1er sur la deuxième nappe ide=« hdc ». Sinon, remplacez hdc par la bonne valeur, et si vous voulez que le groupe « users » puisse faire ce mountage).
2/ Parallèle
Pour le zip parallèle, le noyau doit supporter le scsi (car
ce zip fonctionne comme du scsi), le port parallèle et imm
ou ppa. Sur les 2.2, l'imprimante peut fonctionner en même
temps que le zip à condition que le module ppa ait été
lancé avant le module imprimante. Faites « rmmod lp »
puis modprobe ppa et modprobe lp ( modules 2.2.19 nécessaire )
ce module devrait être lancer avant le module lp dans le
fichier /etc/rcd/rc.module. (Les nouveaux modèles de zip
parallèle (depuis mi-98) utilisent imm au lieu de
ppa.)
Si ça ne veut pas marcher malgré tout,
il doit s'agir d'un problème de port parallèle, car
ceux-ci ne sont pas semblables sur toutes les machines. Voir le
zip-how-to.
3/ USB
Pour que le zip usb fonctionne il faut charger les modules suivant
dans /etc/rc.d/rc.modules
#
/sbin/modrpobe usb-uhci ou
/sbin/modrpobe usb-ohci # en fonction du chipset usb
/sbin/modrpobe
usb-storage
/sbin/modprobe scsi_mod
Il faut ensuite renseigner le /etc/fstab, avec une ligne comme : «
/dev/sda4 /mnt/zip vfat noauto,users,defaults 0 0 »
Si votre
zip est formaté en ext2, utilisez «sda1» au
lieu de «sda4» (Windows commence ses formatages par la
fin c'est con hein!).
Ensuite, un « mount /mnt/zip »
vous donnera accès au zip en lecture et écriture (si
vous voulez l'exécution, rajoutez «exec», comme
pour les cdrom).
Pour ma part j'utilise une webcam Trust spacecam300 voici ce qu'il
faut faire pour qu'elle fonctionne:
il faut tout dabord installer
les modules supplémentaires du kernel puis valider les bon
modules dans le fichier /etc/rc.d/rc.modules
/sbin/modprobe usb-uhci ou /sbin/modprobe usb-ohci # en fonction
du chipset usb
/sbin/modprobe videodev # pour inclure les
périphériques video
/sbin/modprobe ov511 # c'est le
driver pour ma trust
#/sbin/modprobe ibmcam # autre driver web
cam
#/sbin/modprobe microtek # autre driver de web
cam
#/sbin/modprobe mdc800 # autre driver de web cam
Il faut ensuite charger le package gqcam-0.9.tgz et l'installer, en lancant gqcam dans un terminal sous Xwindow vous devriez être en mesure de vous voir, de faire des photos ....
Le montage de disque réseau windows ( uniquement en client
) dans le système est fait dans :
/etc/rc.d/rc.samba
il
faut decommenter les lignes et adapter en fonction de vos besoins :
#
mount -t smbfs -o
username=nom_d'utilisateur,password=mon_mot_de_passe,workgroup=mon_groupe_de
_travail //serveur/partage /mnt/P:
il faut également éditer le fichier /etc/smb.conf la
seule ligne a modifier concerne le workgroup
avec le système
que j'ai choisis les disques sont accesible dans /mnt/X: et dans le
répértoire /home/X: de chaque utilisateur par un lien
symbolique
Si, à présent, vous ouvrez le fichier fstab qui se trouve dans le répertoire /etc et dans lequel se trouvent les indications de tous les système de fichiers qui sont montés au démarrage, vous y verrez l'indication de la partition de swap (ici /dev/hda8) :
# /etc/fstab: static file system information.
/dev/hda6
/ ext2 defaults,errors=remount-ro 0 1
/dev/cdrom /mnt/cdrom
iso9660 defaults,noauto,ro,user 0 0
/dev/fd0 /mnt/A: auto
defaults,noauto,user 0 0
proc /proc proc defaults 0 0
none
/dev/pts devpts gid=5,mode=666 0 0
/dev/hda1 /mnt/C: vfat
defaults,user,umask=002,gid=100,unhide,quiet 0 0
/dev/hda5 /mnt/D:
vfat uid=501,gid=100,umask=022,noexec,quiet 0 0
/dev/hda8 none
swap sw 0 0
Beaucoup de commentaires figurent dans le fichier fstab. Ici, j'ai enlevé toutes les lignes commentées pour plus de clarté.
Le fichier fstab recense les systèmes de fichiers qui peuvent être montés, soit au démarrage, soit à la demande avec la commande mount, il contient également les informations quand aux points de montage de ces systèmes de fichiers, leur type et les droits des utilisateurs qui sont habilités à y accéder.
Il contient une ligne pour chaque système de fichier et utilise cette syntaxe :
[système de fichier] [point de montage] [type] [options] [dump] [fsck]
Par exemple :
/dev/hda5 /mnt/D: vfat uid=501,gid=100,umask=022,noexec,quiet 0 0
signifie que j'ai un système de fichier nommé /dev/hda5 qui se monte sous le répertoire /mnt/D:, qui est de type vfat soit windows, et qui possède les caractéristiques uid=501,gid=100,umask=022,noexec,quiet, c'est-à-dire qu'en plus du compte root, l'utilisateur 501 du groupe 100 aura les droits de propriétés sur ces fichiers.
Disons simplement en français qu'en tant qu'utilisateur je pourrais écrire et copier des fichiers sur une partition windows qui sera montée au démarrage dans mon répertoire /mnt/D:...
Par ailleurs, il est tout-à-fait possible de monter d'autres partitions, soit au démarrage, soit de manière temporaire au moyen de la commande # mount
Par exemple, sur mon disque dur j'ai installé une slackware sur une partition /dev/hda7 et un autre système windows en /dev/hda6. Je peux donc créer des sous-répertoires /mnt/slack et /mnt/windows, puis monter mes partitions par les commandes :
# mount /dev/hda7 /mnt/slack
# mount /dev/hda6
/mnt/windows
pour les voir depuis ce système ... ceci est très utile pour échanger des fichiers entre les différents systèmes installés sur le PC : on peut même installer des packages qui résident sur une partition sur un autre système...
De même qu'avec le CD-Rom et les disquettes, il convient de les dé-monter proprement après utilisation par les commandes :
# umount /mnt/slack
# umount /mnt/windows
Nous pouvons bien entendu les inscrire dans le fichier fstab pour qu'elle soient d'office montées au démarrage par la commande mount -a qui se trouve dans le fichier rc.S du répertoire /etc/rc.d
Pour monter un système de fichier la commande complète est :
# mount -o [options] -t [type] [périphérique] [point de montage]
Plus d'infos sur la commande mount, comme d'habitude sur $ man mount.
Le fichier mtab du répertoire /etc contient lui toutes les indications sur les systèmes de fichiers montés au moment présent.
En ce qui concerne la mémoire d'échange ou swap, vous pouvez utiliser une partition de swap ou un fichier de swap comme vous l'avez vu pendant l'installation.
Si vous le désirez, vous pouvez en tout temps créer une partition de swap avec fdisk (mode 82) et la déclarer ainsi :
# mkswap -c /dev/hda7 [taille] en nombre de blocs
selon fdisk
# swapon /dev/hda8
(par exemple)
# reboot
Par ce redémarrage, la commande # swapon - a qui figure dans le fichier rc.S du répertoire /etc/rc.d sera lancée et votre partition de swap activée.
Auparavant, si vous utilisiez un fichier de swap vous l'aurez désactivé par les commandes :
# swapoff -a puis
# rm
/-chemin-/swap.img pour effacer le fichier
De même, si vous voulez augmenter la taille d'un fichier de swap (qui est par défaut de 8 MB dans cette installation) vous désactivez et supprimez ce fichier avec les commandes décrites ci-dessus, puis vous pouvez créer un nouveau fichier de swap de 32 MB par exemple par les commandes :
# dd if=/dev/zero of=/-chemin-/swap bs=1k count=32k
#
mkswap -c /-chemin-/swap
# reboot pour activer
le fichier de swap comme décrit plus haut.
Toute la configuration ainsi que de nombreux programmes peuvent être appeleé en console par la commande menu de drinou-linux la configuration se résume en un fichier texte qui se trouve être : /etc/pdmenurc la syntaxe est simple et proche de celle du menu de icewm le gestionnaire de programme X vous pouvez modifier a souhait ce fichier pour rajouter et enlever ce que vous voulez..
Petit rappel: pour choisir le runlevel au démarrage afin de booter en mode texte ou graphique, il faut modifier la ligne ci-dessous dans le fichier /etc/inittab:
id:3:initdefault: pour un démarrage en mode texte,
id:4:initdefault: pour un démarrage en mode
graphique.
Pour éditer les menus du window manager ICEWM il faut
aller dans /usr/X11R6/lib/X11/icewm
et éditer les
fichiers menu pour le menu et toolbar pour la barre des tâches
ou plus simplement dans /etc/icewm un lien est fait sur ces fichiers
, c'est un simple fichier texte qui a la syntaxe suivante:
[prog] [«nom affiché du programme»]
[icône] [exécutable] [options]
le fichier de l'éxècutable doit être dans le PATH
il faut éditer le fichier
/usr/X11R6/lib/X11/xkb/types/basic et dans la section tupe «
KEYPAD »
modifié comme suit :
type "KEYPAD" { modifiers =Shift+NumLock;
map[None]
= Level2;
map[Shift] = Level2;
map[NumLock] =
Level1;
map[Shift+NumLock] = Level1;
level_name[Level1] =
"Base";
level_name[Level2] = "Number";
Le verr num sera activé mais la led ne s'allumera pas.
Si Xwindow ne fonctionne pas sur votre PC il faut aller éditer le fichier /etc/XF86Config
Pour lancer un programme qui va s'afficher sur un autre écran
: Autorisez sur la machine d'affichage (192.168.0.1) les étrangers
à utiliser votre écran (« xhost + », à
lancer après le lancement de X). Sur la machine où le
programme tourne sans s'afficher, tapez « export
DISPLAY=192.168.0.1:0.0 ». Quand vous lancerez le programme
depuis la même xterm sur la machine 192.168.0.2, il
s'affichera sur la machine 192.168.0.1.
Pour récupérer
l'affichage en local, vous devrez faire « export DISPLAY=:0.0
». Pour lancer un seul programme à distance : «
prog_a_lancer -display 192.168.0.1:0 » devrait suffire, mais
pas toujours.
Pour interdire à nouveau l'envahissement de votre écran,
« xhost - ».
Pour éviter que n'importe qui ne
vienne envahir votre écran, il est prudent de spécifier
les hôtes autorisés (« xhost + client_autorisé
»).
Il est possible d'utiliser xdm (ou équivalent) pour se connecter graphiquement sur une machine distante (connexions XDMCP).
Sur la machine serveur, xdm doit tourner. Vous devez avoir autorisé l'accès aux autres machines dans le Xaccess (par exemple en décommentant l'étoile).
Sur la machine cliente, vous tapez (sous root en mode console) « X -query 192.168.0.1 » (adaptez l'IP à votre cas, ou tapez un nom de machine déclaré dans /etc/hosts ou fourni par un DNS), et le gestionnaire de connexion graphique du serveur s'affiche. Choisissez un nom d'utilisateur et tapez le mot de passe. Et hop, vous travaillez graphiquement à distance.
Autre possibilité : vous tapez : « startx -- -query 192.168.0.1 ». Dans ce cas, la machine cliente a tendance à lancer plein de choses qui risquent d'entrer en conflit avec celles lancées sur le serveur. Pensez donc à annuler tout ce qui fait double emploi, comme le démarrage du window manager sur la machine cliente.
Possibilité également « startx -- -indirect 192.168.0.1 », qui doit vous afficher une liste de machines-serveurs complaisantes si vous avez correctement renseigné le Xaccess.
Encore plus fort : il est possible de faire la même chose en mode graphique (pas de ligne de commande à taper). Pour cela :
Sur le serveur : modifiez le fichier /usr/lib/X11/xdm/Xservers, et rajoutez après la ligne :0 local /usr/X11R6/bin/X la ligne « 192.168.0.2:0 foreign ».
Sur le client : éditez le fichier qui lance xdm (ou équivalent). Il peut s'agir d'un fichier rc.local ou du fichier prefdm.
Rajoutez après la ligne /usr/bin/X11/xdm la ligne « exec /usr/bin/X11/X -indirect 192.168.0.1 ».
Si votre machine distante est sous Windows, essayez Xwin32 (commercial, disponible à http://www.mcsr.olemiss.edu/computing/xwin32.html). Vous pourrez afficher une session X sur votre machine Windows.
Pour pouvoir bénéficier du son, il faut ibnstaller le package avec les modules optionel 2.2.19 ensuite il faut éditer le fichier /etc/rc.d/rc.modules et y repérer les lignes suivantes :
### Sound support ###
# Sound Blaster Pro/16
support:
#/sbin/modprobe sb io=0x220 irq=5 dma=3 dma16=5
mpu_io=0x300
#Sound Blaster Live support:
#/sbin/modprobe
emu10k1
# MAD16support:
#/sbin/modprobe mad16 io=0x530 irq=7
dma=0 dma16=1
#AD1816(A) sound driver:
#/sbin/modprobe
modprobe ad1816 io=0x530 irq=5 dma=1 dma2=3 ad1816_clockfreq=33000
#
ES1370 support, such as Sound Blaster 128PCI:
#/sbin/modprobe
es1370
# ES1371 support, such as Sound Blaster 64V PCI:
#/sbin/modprobe es1371
# ESS Maestro driver:
#/sbin/modprobe
maestro
# Via #/sbin/modrpobe via82cxxx_audio
# (For information on configuring other sound cards with Linux,
#
see the documentation in /usr/src/linux/Documentation/sound/)
Il
suffit maintenant de décommenter la ligne correspondant à
votre carte son. Si elle ne figure pas, procédez par essais et
erreurs. Pour ma carte son intégré a ma carte mère
c'est via82cxxx_audio j'ai décommenté la ligne suivante
:
#Via
/sbin/modprobe via82cxxx_audio
Maintenant, pour que cette modification devienne effective entrez
simplement :
# /etc/rc.d/rc.modules
Normalement vous avez
alors du son en tant que root mais pas en tant que user. Si vous
voulez que vos utilisateurs bénéficient aussi du son,
le plus simple est de leur ajouter le groupe sys. Pour ce faire
entrez :
# usermod -G sys user
Où user représente le nom de login de
l'utilisateur auquel vous voulez ajouter le groupe sys. Il ne vous
reste plus qu'à vérifier que tout cela a fonctionné
en écoutant....ce que vous voulez ;-) par exemple :
Cherchez un fichier son («find / -name*.au» (ou .wav)). Placez-vous dans son répertoire («cd»), puis tapez «cat fichierson.au >/dev/audio ». Autre possibilité: cherchez un fichier .wav et tapez « play monson.wav ». Il sort un son? Bravo
# autonic
Tout dabord il faut charger le module pour la carte réseau. Il peut être nécessaire de charger le package de modules 2.2.19 si le module ne se trouve pas dans la fourniture de base de la distribution Drinou-Linux. cela se réalise avec le script autonic , si votre carte réseau n'est pas détecté il faut éditer le fichier /etc/rc.d/rc.module et décommenter ( enlever les fagot # ) devant la carte qui correspond a votre modèle , il est parfois nécessaire pour les cartes ISA de donner les paramètres d'adresse et d'IRQ.
Par exemple pour une carte ne compatible isa:
#/sbin/modprobe ne io=0x280
/sbin/modprobe ne
io=0x300
#/sbin/modprobe ne io=0x320
la j'ai décommenter la carte ne et je lui passe les paramettres d'adresse 0x300 c'est souvent cette adresse sur les cartes ne , pour les d-link c'est plutot 280
~# etherset
Pour configurer le réseau il faut utilisé le script etherset les modifications apportées sont faites dans les fichiers /etc/resolv.conf, etc/rc.d/rc.inet1, /etc/hosts je vous invite à aller voir ces fichiers avec mc pour comprendre comment ils sont articulé.
Un simple câble null modem parallèle (dits câbles pour transferts de fichiers, ou null printer pour le câble //) peut parfaitement fonctionner en tcp/ip. Vous devrez avoir le module plip, anvant de le lancer il faut enlever le module parport_probe et lp #rmmod parport_probe #rmmod lp
ensuite il faut activer le module parport en indiqiquant l'adresse et l'irq
#modprobe parport_pc io=0x378 irq=07 # a adapter
# modprobe plip
lui attribuer une adresse IP (« ifconfig plip0 192.168.0.1 pointopoint 192.168.0.2 up »). Le premier port parallèle trouvé sera toujours plip0.
Si plip vous dit que le device est busy, assurez-vous de retirer tous les modules qui pourraient utiliser parport, arrêtez le service d'impression et surtout, allez voir si /proc/parport/0/irq montre bien le numéro d'IRQ de votre port parallèle et pas none.
Faites de même sur l'autre machine, en inversant les numéros d'IP.
Certains ports parallèles ne sont faits que pour les imprimantes et ne fonctionneront pas avec plip.
Pour arrêter « ifconfig plip0 down ».
Les ports série, ne fonctionnent avec slip que s'ils sont de type UART 16550 (Ça se voit dans dmesg ou setserial..
#modprobe slip et même technique que ci dessus
Pour arrêter: «ifconfig sl0 down ».
Allons jeter un oeil dans /dev pour voir comment le modem s'appelle : il y a un lien /dev/modem qui pointe sur /dev/ttyS1 qui est mon port COM 2 ce qui, dans mon cas, est correct
~# ls -l /dev/modem
lrwxrwxrwx 1 root root 5 Jan 6
21:09 /dev/modem -> ttyS1
Avant de configurer la connexion elle-même, il convient de configurer le modem et le port série sur lequel il est branché . C'est le script :
~# comset
qui va créer le fichier rc.serial dans le répertoire /etc/rc.d qui contient ces lignes de commandes qui vont autoconfigurer le port série sur le quel le modem est branché au démarrage :
[ -x /sbin/setserial ] || exit 0
echo "Configuring
modem serial port: /dev/ttyS1"
/sbin/setserial -v /dev/ttyS1
auto_irq skip_test autoconfig
session_lockout
Il reste ensuite soit à redémarrer le PC, soit à brancher le modem et exécuter le script rc.serial par les commandes :
# cd /etc/rc.d
# ./rc.serial
soit encore brancher le modem et lancer la commande contenue dans rc.serial :
# /sbin/setserial -v /dev/ttyS1 auto_irq skip_test
autoconfig
/dev/ttyS1, UART: 16550A, Port: 0x02f8, IRQ: 3
Après cela seulement, nous pouvons configurer la connexion en lançant le script :
~# pppsetup
qui va créer dans /etc et dans/etc/ppp/ vos fichiers resolv.conf ainsi que tous les fichiers nécessaires à la connexion. En effet, si vous omettez de configurer auparavant le port série, le modem sera incomplètement déclaré dans le fichier options du répertoire /etc/ppp :
modem
/dev/
au lieu de
modem
/dev/ttyS1
ce qui avortera vos tentatives de connexion. De plus, pour un modem silencieux modifiez la ligne suivante du fichier ppp.chatscript du répertoire /etc/ppp :
#OK "ATD5550097" remplacée par
OK
"ATM0D5550097" (rajoutez M et zéro)
Lancer la connexion avec # ppp-go -c et l'éteindre avec # ppp-off. La commande # ppp-go -l en donne le détail.
Il faut donner l'accès ( ou non ) a tous les utilisateurs
pour acceder a ppp-go -c cela ce fait en tapant la commande suivante
:
# chmod +s /usr/sbin/pppd
#chmod +s /usr/sbin/chat
Il est également possible de lancer la connection a partir de la page web du serveur qui est sur le port 81.
Un firewall est un programme qui protège votre machine ou
votre réseau des pirates qui pourrais se connecter à
votre machine depuis internet.
Il faut le configurer en allant
sur /usr/local/firewall
et lancer simplement le script install.sh
accepter le repertoire par defaut
l'interface externe est ppp0
il faut le renseigner ( dans le cas d'une connexion modem )
repondre
non aux 2 questions concernant les reseau 0/0
repondre oui a DHCP
repondre oui a FTP server si vous voulez autorisé des
utilisateurs venant du net
appuyer sur entre pour permettre
toutes les adresses sur le net pour ftp
ssh server repondre non (
y en a pas de base )
telnet si vous voulez accepter les connexion
venant du net repondre oui ( c'est risqué ... )
comme tout
a l'heure faite entrer pour accepter n'importe quel adresse ou
specifier une adresse d'un utilisateur qui a le droit de se connecter
en telnet
smtp repondre non
dns repondre non
finger
repondre non
web server repondre oui
pop repondre non
ident
repondre non
nntp repondre non
ntp repondre non
Netbios/samba repondre non
imap repondre non
ssl repondre
non ( par defaut y en a pas )
rip repondre non
nfs repondre
non
Xwindow a vous de voir .... mais plutot non
autres port
non ou alors sachez ce que vous faites ...
start pmfirewall on
startup repondre oui
autodetect plutot non
rentrer votre
adresse IP
votre masque de reseau
Masquerad pour les autre pc
oui si vous avez un réseau local derrière votre
Drinou-Linux sinon Non
interface interne (réseau lan)
repondre eth0 ( si vous en avez un )
autodetect oui
dhcp non
demarre pmfirewall quand ppp est sucesfull oui
voilà c'est fait ! Le bon fonctionnement de votre firewall peut être visualisé grace au serveur http qui tourne sur cette machine vous pouvez le visualisé en en pointant votre navigateur sur http://localhost:81 à partir de links ou dillo sur cette machine ou encore à partir d'une machine de votre réseau local en tapant http://adresse_IP_station_Drinou-Linux:81
Maintenant que nous sommes connectés, nous allons pouvoir découvrir un peu plus des trésors cachés dans Midnight Commander.
Une fois connecté, faire F9 dans Midnight
Commander et dans le menu d'un des panneaux que l'on ouvre avec Right
ou Left , sélectionner FTP link
et entrer l'adresse d'un serveur FTP, par exemple
ftp.cdrom.com/pub/linux/slackware/
Si vous avez besoin de rentrer un nom d'utilisateur et un mot de
passe pour vous connecter il suffit de taper
utilisateur:motdepasse@ftp.serveur.fr
n'oubliez pas les : et l'@
entre les différents champs
L'arborescence sur serveur FTP s'affiche dans un des panneaux et on navigue dedans comme si l'on était chez soi ... on sélectionne le fichier puis en faisant F5 on télécharge le fichier dans le répertoire de destination de notre choix. .
Vous pouvez ouvrir de nouvelles consoles en faisant Alt-Up ou si vous préfèrez la manière classique Alt-F1, Alt-F2 etc ..., vous pouvez décommenter les lignes adéquates dans /etc/rc.d/rc.keymaps :
# This is so you can open another console using the left-[Alt]
&
[Up]-arrow key.
#echo "alt keycode 103 =
Spawn_Console" | /usr/bin/loadkeys
Pour en terminer avec la configuration de base du système
il convient de créer un compte utilisateur et de donner un mot
de passe pour se loguer .
Pour le mot de passe :
# passwd root ... et choisissez un mot de passe supérieur à 6 charactères
Pour le compte utilisateur:
# adduser le_nom_que_vous_voulez
et répondre aux questions : si vous ne savez pas mettez ce
que le script propose entre les [crochets]
ce script crée
entre autres un répertoire /home/user qui sera le
vôtre ...
Et, à l'avenir loguez-vous TOUJOURS en user et JAMAIS en root, sauf si vous avez d'importantes tâches d'administration à effectuer.
Pour une simple commande (comme pour lancer la connexion) utilisez la commande su :
~$ su
Password: ... donnez le mot de
passe de root ...
et pour revenir en user
/home/do# su
do
~$ voilà, vous y êtes ...
ou encore la commande sudo qui permet à un utilisateur d'exécuter des commandes avec tous les privilèges du compte root, selon les droits qui lui sont attribués et qui sont référencés dans le fichier /etc/sudoers :
$ sudo [commande]
Vous trouverez plus d'informations sur ces deux commandes par $ man su et $ man sudo
Vérifions maintenant l'utilisation de la mémoire par la commande :
~$ free
total used free shared buffers
cached
Mem:63864 5752 58112 2904 332 3708
Cela ne me convient pas : j'ai 128 MB de RAM sur mon PC et le système n'en reconnait que 64 MB. Une solution est de modifier le fichier de lancement de loadlin (dans le répertoire C:\drinou, les fichiers drinou.bat pour une installation loopdevice ou linux.bat selon le numéro de la partition pour une installation native ) en y rajoutant l'option mem=128 M comme suit :
@echo off
loadlin vmlinuz root=/dev/hdxy ro mem=128M
Après un redémarrage, je peux vérifier que mes 128 MB de RAM sont bien pris en compte :
~$ free
total used free shared buffers
cached
Mem: 127800 7108 120692 4224 384 4360
"Un processus est un programme qui opère de manière indépendante et possède son propre ensemble de ressources. ... Sous UNIX, les ressources matérielles (mémoire, disques ...) sont gérées par un programme tout-puissant appelé noyau. Tout le reste du système n'est que processus."
Deux commandes principales permettent de visualiser les processus en cours :
$ ps qui donne un aperçu des processus en cours et $ top qui donne en temps réel un tableau de l'activité du processeur avec tous les processus en cours d'execution et les ressources qui leur sont allouées.
Toujours les commandes $ man top et $ man ps vous donneront toutes les informations nécessaires sur les nombreuses options de ces commandes.
Tapez $ ps --help et essayez toutes les options !!! Et ouvrez une seconde console pour lancer $ top en même temps pour comparer...
En association avec les programmes top et ps, la commande $ kill [numéro du processus] permet d'envoyer un signal à tout processus en cours : $ man kill pour plus d'infos ... une autre fonction bien pratique sur linux est la fonction skill -9 nom_du_process
Utile pour se débarrasser d'un programme mal refermé lors d'une précédente session et qui se relancerait automatiquement au prochain redémarrage du PC.
La commande $ kill -l affiche les processus en cours avec leurs numéros d'identification, comme $ top ou $ ps -a.
Démarrez en Linux single. ou bien avec une distribution disquette comme celle fournie pour l'installation de Drinou-Linux.
Éditez le fichier /etc/passwd.
Effacez le «x»
ou «*» entre les deux «:»:
root:*:0:0:root:/root:bin/bash
Si vous n'utilisez pas les mots de passe shadow, le mot de passe crypté se trouve à la place du «*». Effacez-le.
Redémarrez. Il n'y a plus besoin de mot de passe. Remettez-en un vite. Ceci vous montre à quel point il est facile de pirater une machine accessible si d'importantes précautions n'ont pas été prises.
Si vous avez perdu un mot de passe utilisateur, démarrez sous root, et changez-le normalement («passwd test»).
Installons Lilo le gestionnaire d'amorçage générique de linux ou "LInux LOader" dans notre Drinou-Linux . Soyons cependant conscients que nous alllons écrire des données à des endroits sensibles du disque dur et accordons par conséquent toute notre attention à ces manipulations.
Pour ce qui va suivre, il convient de distinguer Lilo, le lanceur, de lilo qui est le programme qui va se charger de l'installer dans la FAT d'une partition donnée ou dans le MBR.
En effet, pour que Lilo fonctionne, il aura besoin d'être placé à cet endroit stratégique et c'est ce programme lilo qui va s'appuyer sur les indications contenues dans le fichier /etc/lilo.conf pour le configurer. Ce fichier contient tous les paramètres nécessaires à la configuration de Lilo, à savoir l'indication de l'endroit où il devra le placer, le chemin qui mènent au noyaux à disposition pour lancer un système sur une partition donnée et d'autres paramètres encore. Il peut contenir plusieurs noyaux et peut permettre le lancement de plusieurs systèmes sur des partitions distinctes. Il doit donc être composé avant l'installation de Lilo.
Pour la configuration de Lilo, le programme lilo aura également besoin de se référer à une image du système.
Puis vient le moment d'éditer le fichier /etc/lilo.conf, qui doit appartenir au compte root. Je vous livre ici deux fichiers différents, le premier qui installe Lilo dans la FAT d'une partition logique /dev/hda6 et qui me sert à lancer le système qui s'y trouve à l'aide d'un boot manager indépendant qui lui se trouve déjà dans le MBR:
boot = /dev/hda6
delay = 10
vga = normal
image =
/boot/bzImage
root = /dev/hda6
label = linux
read-only
et le deuxième, plus classique, qui prévoit d'installer Lilo dans le MBR et de lui permettre de lancer à choix un système DOS situé sur une partition /dev/hda1 et un système linux installé sur une partition /dev/hda2 (ici le linux sur /dev/hda2 se lance par défaut et la touche SHIFT au démarrage permet d'afficher le choix) :
boot = /dev/hda
delay = 10
vga = normal
image = /boot/bzImage
root = /dev/hda2
label =
linux
read-only
other = /dev/hda1
table = /dev/hda
label = dos
Ces fichiers peuvent être bien plus sophistiqués. voir les docs ...
Une dernière précaution utile à prendre si l'on décide d'installer Lilo dans le MBR est d'effectuer une sauvegarde de ce dernier et de la copier sur une disquette au format ext2 au moyen de la commande :
# dd if=/dev/hda of=/fd0/MBR bs=512 count=1
ce qui permettra, en cas de problème de restaurer le MBR ainsi :
# dd if=/fd0/MBR of=/dev/hda bs=446 count=1
Après cela, nous pouvons installer Lilo à l'endroit que nous avons défini dans le fichier /etc/lilo.conf (ici, dans le MBR). Effectuons encore un dernier test par :
# lilo -b /dev/hda -t
Ignoring entry 'boot'
Added Linux *
The boot sector and
the map file have *NOT* been altered.
et si tout nous semble en ordre, installons Lilo par :
# lilo -b /dev/hda
Par ailleurs, dans notre premier exemple, nous aurions lancé la commande # lilo -b /dev/hda6 pour installer Lilo à la racine de /dev/hda6 et le programme lilo nous aurait sauvegardé l'ancienne FAT de cette partition dans un fichier /boot/boot.0306 qu'il est nécessaire de conserver. En effet, grâce à lui, nous sommes en mesure de rétablir l'ancienne configuration par la commande :
# dd if=/boot/boot.0306 of=/dev/hda6 bs=446 count=1
Vous trouverez des informations complètes sur les options du programme lilodans le fichier README de votre répertoire /usr/doc/lilo-21
Un dernier mot sur le script QuickInst qui se trouve justement dans ce répertoire : il sert à installer Lilo automatiquement et crée le fichier /etc/lilo.conf sur la base des indications que vous lui fournirez. Malheureusement il n'accepte pas d'installer Lilo sur une partition logique.
Comme vous l'avez sans doute remarqué, la distribution Slackware comme la Drinou-Linux utilise le format .tgz pour la gestion des paquets. Il existe un outils pour la gestion de ces paquets. installpkg, explodepkg, upgradepkg, removepkg et makepkg. La fonction F2 de mc est l'autre alternative plus simple à mon sens.
Les paquets .tgz ne sont en fait qu'un ensemble de répertoires zippés et tarés où se situent normalement les programmes quand on les compile et installe à partir de sources. Ils contiennent aussi un script bash qui sert entre autre à leur installation.
Description de installpkg
Installpkg est utilisé pour installer un paquet précompilé sur votre machine. Son utilisation se résume à unzipper et untarer le paquet dans le répertoire root (/) de votre système de fichiers et à exécuter un script nommé "doinst.sh" se trouvant dans le paquet .tgz, si bien sûr un tel script se trouve dans le paquet. Ce script doinst.sh sert normalement à refaire les liens symboliques nécessaires à l'utilisation du programme que l'on veut installer mais il peut aussi servir à d'autres usages que je ne décrirai pas ici car le sujet pourrait être vaste. La meilleure façon de savoir à quoi est utilisé ce script, c'est de regarder comment est fait un paquet et de voir à quoi ressemble le script. Il y a un script pour ce faire que je décrirai plus loin et qui se nomme explodepkg.
Je vous invite à aller consulter la doc de la slackware sur le site de lea-linux concernant ces outils
Les outils de la Slackware ou Drinou-Linux pour la gestion de paquets ne sont pas ce qu'il y a de plus sophistiqué mais ils fonctionnent bien.
VNC Serveur nécesite le package VNC et Perl
Une fois en réseau TCP/IP, que ce soit en local ou à distance, vous pouvez utiliser VNC, un superbe free software multi-plates-formes, qui vous permet de voir Windows dans une fenêtre de Linux ou le contraire.
Si l'écran de Windows est assez facile à voir (« vncviewer 192.168.0.1:0 »), il est plus compliqué de dire à Linux quel écran on veut qu'il exporte. Le lancement par défaut de VNC serveur (« vncserver »)sous Linux exporte une fenêtre où... il ne se passe rien ! On peut obtenir quelque chose en faisant « export DISPLAY=:1 » (si l'affichage 1 est celui utilisé par VNC, voir en faisant « ps aux|grep Xvnc » ) avant de lancer les programmes.
Si vous avez un fichier .vnc/xstartup dans votre home du genre :
#!/bin/sh
exec /etc/X11/xinit/xinitrc &
xsetroot -solid grey
xterm
-geometry 80x24+10+10 -ls -title "$VNCDESKTOP Desktop" &
#facultatif
starticewm &
vous pourrez exporter un vrai ICEWM. À ce moment, vous pouvez l'afficher en local avec l'option « -shared » (ex : « vncviewer -shared 192.168.0.1:1 »). Cela vous permet de lancer un client sur une machine distante avec la même commande. De plus, on peut voir plusieurs serveurs depuis un même poste client.
Il existe un émulateur DOS, dosemu, qui tourne soit en console texte (se lance par « dos »), soit en console graphique : dos in a box, qui se lance par « xdos ». (Ne lancez surtout pas « dos » dans une fenêtre graphique !) Son paramétrage n'est pas évident (amusez-vous avec dosemu.conf !). Il est assez performant. Il refuse certaines applications, qui en général refusent également l'environnement Windows (celles qui accèdent directement au mode protégé du processeur).
S'il refuse de démarrer pour cause de VGA font, vérifiez que le fichier /usr/X11R6/lib/X11/fonts/misc/fonts.dir contient :
vga.pcf vga
vga11x19.pcf vga11x19
La version est maintenant 1.0.2 ! Les développeurs assurent qu'il fonctionne comme un vrai DOS. Dans un certain nombre de cas, il apporte même à des applications un environnement meilleur que le vrai DOS, sur lequel il s'appuie (plus de mémoire).
Attention ! Si vous utilisez le vrai DOS, la partition DOS ne doit pas être mountée. Votre $_hdimage doit pointer sur votre disque physique (/dev/disque) dans le /etc/dosemu.conf, par exemple « $_hdimage="/dev/hda1" ». Sinon, vous pouvez utiliser freedos et laisser faire l'installation standard.
Pour le problème du clavier et de l'affichage en Français, j'ai enfin trouvé qu'il y avait un conflit entre l'autoexec.bat de DOS et Linux. Il faut copier l'autoexec.bat en autoexec.lin, le signaler au dosemu.conf (« $emubat= "lin" »), et mettre en commentaire les lignes qui chargent le clavier et les fontes dans l'autoexec.lin. Vous verrez démarrer un DOS propre, et avec plus de mémoire que le vrai.
Il faut aussi renseigner le dosemu.conf avec « $_rawkeyboard=(on) », « $_keybint = (on) » et « $_layout= "fr" » pour avoir le Français.
Pour toutes les opérations DOS, si les interfaces graphiques échouent, vous pouvez utiliser les mtools. Le principe est simple : toutes les commandes MSDOS on un équivalent, qui se trouve en rajoutant « m » devant la commande DOS (« mformat », « mcopy »...). Ça marche parfois mieux que la vraie...
Linux sait aussi leur procurer un environnement. En revanche, wine n'émule que le fonctionnement de Windows, pas la totalité de l'environnement. Les applications Windows (du moins, celles qui veulent bien) tournent directement dans Linux.
Si vous installez à partir des sources, n'utilisez pas le sempiternel « ./configure... », mais lancez « ./tools/wineinstall » dans le répertoire des sources. Cela fera toute la compilation et créera un fichier de paramètres ~/.wine/config. Ainsi qu'une mini-arborescence Windows dans le répertoire que vous aurez signalé comme devant se substituer à « C:\ ».
Le lancement se fait par « (chemin/vers/)wine monappli ».
Si vous avez un Windows quelque part sur la machine, le disque où il se trouve doit être mounté et correctement déclaré dans le wine.conf (c'est son répertoire de mountage que l'on déclarer dans (/usr/local/)etc/wine.conf). Sur Mandrake, le /etc/wine.conf s'appelle /usr/share/wine/wine-config, que vous générez par « winebuild usr/share/wine/wine.config.default » Exemple :
[Drive C]
Path=/mnt/dosc
[Drive E]
Path=/ (Ceci pour permettre à
wine de savoir quoi faire de votre partition Linux. Il la mounte ici
en E)
Dans le même fichier, il faut aussi voir les PATHS et le répertoire Temp. Ils doivent correspondre à l'arborescence de votre partition Windows.
Si vous n'avez pas de partition Windows, créez un répertoire qui en tiendra lieu : « mkdir /c » (/var/wine n'est pas une mauvaise idée non plus). Assignez le path comme suit :
[Drive C]
Path=/c
Dans ce cas (Wine sans Windows), pour installer un programme : « wine install.exe ». Quand ça marche (de plus en plus souvent), c'est spectaculaire.
Attention ! Lorsque vous tapez les chemins, les barres de répertoire sont obliques dans le sens UNIX. Rien ne vous empêche de créer un raccourci, comme pour n'importe quel programme Linux (ex : « /usr/local/bin/wine /olitec/olifax » vous permet de lire vos fax reçus sous Windows avec un modem Olitec). N'oubliez pas de mettre le chemin du disque Windows entre guillemets s'il y a des espaces dans les noms ! (Ex : « wine "/Programs files/monprogramme" »). Si ça ne fonctionne pas, testez avec un programme qui est dans le path « wine notepad ». Si ça marche, essayez « wine c:\\monrep\\monprogramme ».
Word 7 et Excel 7 fonctionnent de mieux en mieux, mais il y a encore des problèmes. On nous promet un fonctionnement sans faille bientôt.
En Français, vous aurez des problèmes pour ouvrir ou enregistrer les fichiers. Wine vous réclamera mso5enu.dll et openenu.dll. Il vous suffit de copier openfra.dll et mso5fra.dll vers les noms réclamés.
Astuce ! Si un programme refuse de fonctionner pour cause de dll, donnez-lui en une (créez un fichier vide de ce nom dans votre Pseudo_C/windows/system). Wine saura ensuite lui donner la vraie dll émulée.